Une ville entière pendue à l’avenir de Renault en Russie


Suite à l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes et les sanctions internationales qui s’ensuivirent, c’est toute une ville qui retient son souffle et se sait en sursis. Largement dépendante de l’usine automobile d’AvtoVAZ, appartenant au groupe Renault, et qui produit les Lada, Renault et Dacia pour le marché local, la ville russe de Togliatti est au bord du chaos.

Volkswagen à l’assaut des États-Unis


Pour le groupe Volkswagen, les bénéfices réalisés aux États-Unis en 2021 ont tout d’une excellente nouvelle. Plombé par le Dieselgate en 2015, le constructeur allemand a depuis du mal à remonter la pente. L’explosion des véhicules électriques pourrait néanmoins changer la donne. Preuve que Volkswagen y croit, le groupe a annoncé un investissement de 6,4 milliards € rien que pour le marché nord-américain.

Radars : le recours aux cabinets conseils épinglé par le Sénat


La mainmise du privé, « l’opacité », des dépenses hors de contrôle… C’est tout cela que révèle la Commission d’enquête sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques qui a rendu son rapport la semaine dernière. Grâce à elle, il apparaît au grand jour que les dépenses de certains contrats relatifs aux radars et à la Sécurité routière ont littéralement explosé ! Décryptage et révélations…

Les États-Unis débloquent déjà 30 millions de barils de pétrole de leurs réserves stratégiques


Conséquence du conflit qui fait rage en Ukraine, le prix du baril de pétrole de WTI américain a dépassé les 110 dollars. Un seuil également franchi par le Brent. Pour faire face aux difficultés et tenter d’éviter la flambée des prix, le président des États-Unis, Joe Biden a annoncé le déblocage de 30 millions de barils issus de la réserve d’urgence du pays.

Autoroutes : non, l’État ne les récupérera pas gratuitement en fin de contrats !


Sur le sujet autoroutier, régulièrement médiatisé, il est pour le gouvernement urgent de ne rien faire. À l’entendre, la nationalisation des sociétés d’autoroutes (ou la rupture anticipée de leurs contrats) coûterait trop cher l’État, de l’ordre de 40 à 50 milliards d’euros, alors qu’il suffit de patienter jusqu’à la fin des contrats avec Vinci, Eiffage et Abertis pour pouvoir reprendre la main sans rien avoir à débourser. Vrai ? Pas du tout… Retour sur cette problématique pour essayer d’y voir plus clair.