Les dernières voitures présidentielles, symboles du fiasco des françaises dans le haut de gamme


Après François Hollande paradant en Citroën DS5, on a droit à Emmanuel Macron en Renault Rafale. Et là, on se dit que, décidément, les constructeurs français et l’Elysée font preuve d’un manque d’amibtion spectaculaire pour mettre en valeur la Présidence de la République. Pourtant, ça n’a pas toujours été le cas…

Maxi-fiche fiabilité – DS 7 Crossback/DS 7 : à prendre avec des pincettes


La marque DS a véritablement été lancée en 2014, lorsque la petite DS 3 abandonne les chevrons de Citroën pour s’émanciper. Afin de conforter son image premium aux yeux du public, la jeune marque doit avoir dans son catalogue un SUV. Ce sera le cas en 2017 lorsque le DS 7 Crossback est lancé.

BlueHDi : Stellantis rappelle près de 600 000 voitures en France


Largement dénoncée pour son manque de fiabilité, la technologie BlueHDi fait, enfin, l’objet de rappels officiels. Citroën, DS Automobiles, Fiat, Opel et Peugeot sont en train de contacter leurs clients.

Quel budget pour une premium 100 % DS en occasion ?


Après six années de commercialisation de  »Citroën DS », la marque aux chevrons rebaptise, au printemps 2015, toute la gamme avec le logo DS exclusivement. La première à en bénéficier sera la DS 5. Aujourd’hui, DS est très présent sur le marché de la seconde main. De la citadine DS 3 au vaisseau amiral DS 9 en passant par les séries Crossback et autres « cabriolets », le choix est vaste et s’adresse à tous les profils de conducteurs. Mais quel budget mini faut-il consacrer pour rouler à bord d’une « authentique » DS ?

Journées du patrimoine : nous nous sommes glissés dans le DS7 d’Emmanuel Macron


La DS7, aussi blindée que présidentielle, était exposée, et présentée au public dans la cour de l’Élysée, puisque le palais était ouvert aux visiteurs à l’occasion de la journée du Patrimoine. Nous en avons profité, en exclusivité, pour nous glisser dans le coffre du SUV blindé et ne pas rater une miette des conversations d’Emmanuel Macron avec son chauffeur alors qu’ils se dirigeaient vers l’aérodrome de Villacoublay pour prendre un avion vers Londres et les funérailles d’Élizabeth II. Une pure fiction. Ou plutôt un voyage tout en politique-fiction.