L’État ne gagne-t-il vraiment rien ou pas plus avec la hausse des prix à la pompe ?


« Je peux vous assurer qu’aujourd’hui l’État ne gagne pas d’argent sur les taxes sur les carburants », dixit Élisabeth Borne, la semaine dernière… Mais que voulait bien dire la Première ministre ? Caradisiac s’est penché sur la décomposition des prix du Gazole et du SP 95. À la louche, c’est quand même la moitié – ou presque – de la facture qui rentre dans les caisses de l’État à chaque plein !

Porsche : retour en bourse, arrivée en F1, un nouveau tournant


Depuis de longues années, Porsche est considérée comme un modèle économique. Le constructeur de Stuttgart est l’une des marques automobiles les plus rentables au monde. Aujourd’hui malgré le passage à l’électrique, qui aurait pu le mettre en danger, il affiche aujourd’hui de nouvelles ambitions avec un retour programmé en bourse et une arrivée en F1.

Stellantis et Samsung s’allient pour bâtir une usine de batteries aux États-Unis


Groupe automobile multinational, Stellantis a de grandes ambitions sur le marché en plein essor de la mobilité électrique. D’ici 2030, 75 modèles électriques devraient ainsi voir le jour sous les logos des différentes marques du groupe. Pour équiper une partie de ses véhicules, Stellantis vient de conclure un accord avec Samsung afin de construire une nouvelle usine de batteries aux États-Unis. Un projet qui s’élève à 2,5 milliards €.

Quel avenir pour l’industrie auto ?


Avec des chiffres de vente en forte baisse, l’industrie auto vient de vivre son pire premier trimestre depuis 50 ans. En cause, la crise sanitaire qui a entraîné des pénuries de composants, des difficultés d’approvisionnement et des délais de livraison qui s’allongent. Une situation complexe à laquelle s’ajoute l’instabilité internationale liée au conflit en Ukraine.

Résultats en baisse : Renault à l’aube du grand choix


Les chiffres sont tombés ce matin : le losange affiche un recul des ventes de 17 % au premier trimestre par rapport à la même période l’an passé. Alors Renault a décidé de réagir. Des pistes de sortie de crise sont envisagées, et notamment une scission du groupe en deux entités.

Une ville entière pendue à l’avenir de Renault en Russie


Suite à l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes et les sanctions internationales qui s’ensuivirent, c’est toute une ville qui retient son souffle et se sait en sursis. Largement dépendante de l’usine automobile d’AvtoVAZ, appartenant au groupe Renault, et qui produit les Lada, Renault et Dacia pour le marché local, la ville russe de Togliatti est au bord du chaos.

Volkswagen à l’assaut des États-Unis


Pour le groupe Volkswagen, les bénéfices réalisés aux États-Unis en 2021 ont tout d’une excellente nouvelle. Plombé par le Dieselgate en 2015, le constructeur allemand a depuis du mal à remonter la pente. L’explosion des véhicules électriques pourrait néanmoins changer la donne. Preuve que Volkswagen y croit, le groupe a annoncé un investissement de 6,4 milliards € rien que pour le marché nord-américain.

Radars : le recours aux cabinets conseils épinglé par le Sénat


La mainmise du privé, « l’opacité », des dépenses hors de contrôle… C’est tout cela que révèle la Commission d’enquête sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques qui a rendu son rapport la semaine dernière. Grâce à elle, il apparaît au grand jour que les dépenses de certains contrats relatifs aux radars et à la Sécurité routière ont littéralement explosé ! Décryptage et révélations…

Les États-Unis débloquent déjà 30 millions de barils de pétrole de leurs réserves stratégiques


Conséquence du conflit qui fait rage en Ukraine, le prix du baril de pétrole de WTI américain a dépassé les 110 dollars. Un seuil également franchi par le Brent. Pour faire face aux difficultés et tenter d’éviter la flambée des prix, le président des États-Unis, Joe Biden a annoncé le déblocage de 30 millions de barils issus de la réserve d’urgence du pays.

Autoroutes : non, l’État ne les récupérera pas gratuitement en fin de contrats !


Sur le sujet autoroutier, régulièrement médiatisé, il est pour le gouvernement urgent de ne rien faire. À l’entendre, la nationalisation des sociétés d’autoroutes (ou la rupture anticipée de leurs contrats) coûterait trop cher l’État, de l’ordre de 40 à 50 milliards d’euros, alors qu’il suffit de patienter jusqu’à la fin des contrats avec Vinci, Eiffage et Abertis pour pouvoir reprendre la main sans rien avoir à débourser. Vrai ? Pas du tout… Retour sur cette problématique pour essayer d’y voir plus clair.