Le grand soir de Renault, c’est demain matin


La Renaulution, la vraie, aura lieu demain 8 novembre. Au soir de ce « capital market day », on saura si Luca de Meo a réussi son pari : sauver la maison Renault, pas moins, en la divisant par deux. Le prix à payer pour que le losange survive dans la grande bourrasque qui risque de faire sombrer nombre de navires de l’automobile. Le prix à payer aussi pour vivre sans l’Alliance Renault Nissan qui, à l’issue de ces prochaines journées lourdes de conséquences ne pourrait plus être qu’un simple échange d’actions minimalistes comme il y en a tant.

Thierry Breton nouveau chantre du thermique ?


Dans un concert politique européen à peu près unanime pour saluer l’échéance de 2035 et la bascule vers le tout électrique, le discours du commissaire européen détonne. Il demande aux constructeurs de ne pas abandonner totalement le thermique et compte sur la clause de revoyure en 2026 pour, peut-être, freiner le mouvement. Vraie volonté de changement ou gesticulation ?

Des usines ultra-connectées chez Renault !


Aujourd’hui, tout est connecté, y compris les machines d’un grand constructeur automobile comme Renault. L’intérêt : collecter toutes les données possibles à chaque étape de la conception, du transport des matières premières à la livraison des véhicules en passant par leur assemblage et la fabrication des différents éléments, pour améliorer la productivité. Explications sur le site de Flins-sur-Seine, dans les Yvelines.

600 millions d’euros pour la future usine française de composants de batteries


L’entreprise française Alteo et le groupe sud-coréen Wscope vont investir 600 millions € en France pour la construction d’une usine de séparateurs de batteries. La mise en service, prévue pour 2026, de ce projet majeur, contribuera à la création de près de 1 000 emplois.

Mondial de l’automobile: le retrofit à l’honneur


Après la visite d’Emmanuel Macron ce lundi au Mondial de l’Auto de Paris, le gouvernement a annoncé cette semaine de nouvelles aides publiques pour la filière automobile française. Objectif: produire deux millions de véhicules électriques par an en France en 2030, et décarboner le parc auto français. C’est ainsi que la filière du retrofit va profiter d’une enveloppe de 20 millions d’euros. Caradisiac en a parlé avec le ministre des Transports Clément Beaune.

De nouvelles aides publiques pour la filière automobile


Après la visite d’Emmanuel Macron ce lundi au Mondial de l’Auto de Paris, le gouvernement annonce aujourd’hui de nouvelles aides publiques pour la filière automobile française afin d’atteindre l’objectif fixé, de produire deux millions de véhicules électriques par an en France en 2030, et de décarboner le parc auto français.

L’automobile, championne d’Europe de la R&D, mais…


Les dépenses en matière de recherche & développement de l’industrie auto ont représenté 32% du total au cours de l’an passé dans l’union européenne. La filière est bonne première de la discipline, loin devant le deuxième : l’industrie pharmaceutique. Sauf que ses dépenses sont en baisse, au moment même ou cette industrie doit investir pour s’assurer un avenir.

Elkann, président de Stellantis, voit émerger un autre « Tesla »


Il y a quelques jours, au siège de la Fondation Agnelli, à Turin, John Elkann laissait entendre que le bouleversement provoqué par la transition énergétique pourrait donner naissance à un nouveau Tesla. Une référence à l’ébullition capitalistique qui anime Exor, la holding d’investissement du groupe italien, dont il est le Pdg ?