Grève dans l’industrie automobile américaine : quelles répercussions en Europe ?


Une grève illimitée touche les trois groupes américains Stellantis, General Motors et Ford. Et si les clients européens ne risquent d’être que très peu touchés par les arrêts de production, les constructeurs, à l’instar du groupe dirigé par Carlos Tavares, pourraient bien perdre de l’argent, et voir leurs syndicats d’ici prendre exemple sur leurs collègues de là-bas.

Pour la branche américaine de Stellantis, la rentrée sociale est plus que tendue


Les salariés de Dodge, Jeep et Chrysler, comme ceux de Ford et General Motors réclament des hausses de salaires de 46 %. Entre eux et les directions des groupes, les négociations sont difficiles. Surtout chez Stellantis, accusé par l’UAW de vouloir réduire les congés, la couverture santé et les droits à la retraite.

General Motors de retour en Europe ? C’est l’affaire de quelques mois


la vénérable firme de Detroit a quitté le vieux continent il y a 6 ans. Mais elle va revenir en version électrique cette année avec Chevrolet et Cadillac. Mais si le débarquement dans les pays du Nord est validé, l’arrivée en France pourrait bien être compromise par les dernières annonces de l’Élysée.

33 500 suppressions de postes chez Stellantis aux États-Unis : la transition vers électrique au prix fort


La nouvelle est tombée dans la soirée : des milliers de postes seront supprimés chez Dodge, Ram, Chrysler et Jeep, les marques américaines du groupe Stellantis. Une décision qui intervient alors qu’en France, le même groupe annonce sa volonté de recruter 1 200 salariés.

Stellantis : une réussite financière qui cache une valse des cadres dirigeants


Si le redressement financier de l’ex-PSA et désormais Stellantis est unanimement salué, le management du patron et redresseur Carlos Tavares l’est moins. Sept cadres dirigeants de la maison Stellantis ont été remerciés en quelques semaines et leurs troupes ne cachent pas leur trouble.

De l’électricité dans l’air entre Biden et Macron


Actuellement en voyage officiel aux États-Unis, Emmanuel Macron a emporté avec lui le dossier du protectionnisme automobile, qui réserve les aides publiques américaines aux achats de VE made in US. Une pratique que le président français a jugée « super agressive » et qu’il aimerait voir abandonnée. Quelles sont les conséquences de cet IRA (Inflation reduction act) sur l’industrie auto ? Elles sont quasi nulles pour la France, mais importantes pour l’Europe en général et l’Allemagne en particulier