Et si les constructeurs avaient, enfin, retrouvé le sens des réalités ?


Guerre des prix en Chine, velléités de produire des voitures électriques à moins de 25 000 euros : les signes d’un changement de stratégie apparaissent sur la planète auto. La folie du « produire moins pour gagner plus » a peut-être enfin du plomb dans l’aile, pour le meilleur et pour le consommateur.

Citroën serait-il en plein virage low cost ?


Et si Citroën changeait radicalement de positionnement ? Et si la marque historique de l’innovation et du haut de gamme à la française devenait low cost ? Et si sa nouvelle cible était Dacia, et plus du tout les marques généralistes ? Beaucoup de « si » pour une hypothèse soulevée par Les Echos. Mais si ce gros changement est possible, il est loin d’être certain. Explications.

Hopium et Sono en déroute : et si le bon sens faisait son retour ?


Coup sur coup, deux start-up européennes pleines de promesses sont dans la tourmente. En France, Hopium et ses voitures à hydrogène croulent sous les pertes et en Allemagne, Sono et ses autos solaires ne sont pas plus vaillantes. Les utopies s’écroulent et les vieux constructeurs sont confortés par une évidence : on ne s’invente pas constructeur auto par la grâce d’une simple levée de fonds.

Changement de patron et ventes en recul : qu’est ce qui cloche chez Citroën ?


24 heures après les excellents résultats du groupe Stellantis, et les piètres chiffres de Citroën, l’une de ses marques, le directeur général des chevrons, Vincent Cobée, cède sa place. Le signe d’une crise au sein de la maison qui paie notamment ses errements en matière de design.

Elon Musk découvre les syndicats et règle le problème à sa façon


En quelques années, Tesla est devenue un acteur incontournable du monde de l’automobile grâce à ses véhicules électriques. Mais ce passage de la simple start-up au géant ne s’est pas fait sans aléas, bien au contraire. Le fantasque patron n’en a pas fini et doit faire face aujourd’hui à l’émergence de syndicats. Et sa réponse est pour le moins musclée.

Ford pourrait bien « downsizer » ses effectifs européens


Des milliers d’emplois sont menacés chez le constructeur américain en Europe. Première, visée l’usine allemande de Saarlouis pourrait fermer ses portes dans deux ans. Ses salariés espéraient, jusqu’à la semaine passée, que le Chinois Byd reprenne l’unité pour y fabriquer des batteries, mais il vient de décliner l’offre. En outre, le constructeur a annoncé la suppression de 3800 emplois en Allemagne et au Royaume Uni. Des postes administratifs et de R&D sont visés.